My Winnipeg (La maison rouge, du 23 juin au 27 septembre 2011, Paris)

© Marc Domage

© Marc Domage

© Marc Domage

© Marc Domage

© Marc Domage

© Marc Domage

© Marc Domage

© Marc Domage

Petits panneaux sur bois, Michael Dumontier,Neil Farber

Petits panneaux sur bois, Michael Dumontier,Neil Farber

Sarah Anne Johnson

Sarah Anne Johnson

Adrian Williams, et Neil Farber

Adrian Williams, et Neil Farber

Jon Pylypchuk

Jon Pylypchuk

Neil Farber en train de signer Mannys

Neil Farber en train de signer Mannys

My Winnipeg (La maison rouge, du 23 juin au 27 septembre 2011, Paris)

© Marc Domage
© Marc Domage
© Marc Domage
© Marc Domage
© Marc Domage
© Marc Domage
© Marc Domage
© Marc Domage
Petits panneaux sur bois, Michael Dumontier,Neil Farber
Petits panneaux sur bois, Michael Dumontier,Neil Farber
Sarah Anne Johnson
Sarah Anne Johnson
Adrian Williams, et Neil Farber
Adrian Williams, et Neil Farber
Jon Pylypchuk
Jon Pylypchuk
Neil Farber en train de signer Mannys
Neil Farber en train de signer Mannys

"My Winnipeg"

L'exposition "My Winnipeg", qui présente la scène artistique de Winnipeg, Canada est une coproduction de la maison rouge à paris , du MIAM à Sète et du Plug In ICA de Winnipeg. Elle sera présentée successivement en 2011 et 2012.

"A la fin des années 1980, gràce à mon fils Vincent, je dénichai les premiers films de Guy maddin, et par la lecture de nombreux magazinesd'art et catalogues, je découvris, les oeuvres du collectif Royal Art Lodge.Je suis constamment à l'affut de productions étonnantes, incomparables, sortant de l'ordinairedu flux majoritaire d'images, dont nous sommes abreuvés quotidiennement et mondialement. les films de Guy Maddin , des OVNI, correspondaient totalement à cette quète permanente. Ils ne peuvent laisser indifférent, même les néophytes. On les dirait sortis "d'un passé alternatif", pour nous parler de notre présent et de notre futur". les oeuvres du Royal Art Lodge étaient, elles aussi, à contresens de la mode et des pratiques artistiques de la fin des années 1990; ces sept artistes aux stlyes très différents, semblaient pourtant reliés par le fil invisible de leurs origines.

Ils utilisaient tous des médiums traditionnels, presque minimaux : crayon, aquarelle, encre, papier, carton, peinture mais aussi, root beer et films super 8, rien à voir avec les oeuvres super produites de l'art contemporain dominant. Après quelques recherches, je compris qu'ils étaient tous originaires de Winnipeg, ville de taille moyenne isolée au milieu du continent américain, à mi-chemin entre Toronto et vancouve, étape obligée vers l'ouest , ou pour les plus courageux, sur la route du pôle Nord".

Hervé Di Rosa (Miam, Musée International des Arts modestes, Sète, France)